Le stage résidentiel de Juliette Anne, allez-y les yeux fermés, mais surtout n’oubliez pas de les ouvrir quand vous êtes arrivés. C’est magnifique de campagne et de calme, en toute saison j’imagine. Moi, c’était en novembre, pourtant, avouez, ce n’est pas la saison la plus glamour du calendrier avec son 11 novembre et sa fête de la Toussaint. Et bien, je n’en suis toujours pas encore revenue du plein d’énergie et d’envie d’écrire que j’ai emmagasiné là. Pourtant, j’en avais sous la marmite, ça bouillonnait sec avant d’arriver.
Pour celles qui pensent ne pas avoir trois idées à écrire, ne vous en faite pas, la maison est aménagée juste comme il faut pour se sentir chez soi. Vous allez me dire, il ne suffit pas que la décoration intérieure soit sympa pour vous nourrir le stylo, mais patience, j’y arrive.
C’est là que la magie opère, vous avez choisi de prendre du temps pour vous, Juliette Anne a décidé de vous l’optimiser tout en douceur et en efficacité. Il y a d’abord son sourire, puis son écoute et ses propositions. Ensuite il y a les collègues d’écriture, ce n’est pas le chiffre qui fait la qualité, tenez, nous, on était deux et c’était épatant. J’ai toujours aimé avoir de la place et du calme, ici on en a profité salement. Et la nature qui nous entoure, le plateau du haut Lignon, c’est quelque chose, tout de même.
Ecrire après la balade devenait facile, je n’avais qu’à m’asseoir devant mon ordinateur posé sur la grande table, et hop, cela me venait. Je ne vais pas vous en dire davantage, vous n’avez qu’à venir après tout, vous y avez droit, vous aussi. Je voudrais dire un grand merci à Juliette et à ma collègue d’écriture.